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NOTRE ÉQUIPE

Découvrez-en plus sur nous

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TANIA LECOMTE, PH.D.

Directrice du laboratoire

Tania Lecomte, Ph.D., est professeure titulaire au Département de psychologie de l'Université de Montréal, chercheuse séniore au Centre de Recherche de l’Institut Universitaire en Santé Mentale de Montréal (IUSMM) et au CRIPCAS, fondatrice du réseau canadien de chercheurs en schizophrénie, et membre fondatrice du regroupement nord-américain en thérapie cognitive comportementale pour la psychose (TCCp). Ses travaux actuels s’intéressent au rétablissement des personnes aux prises avec un handicap psychique. Elle s’intéresse par exemple à l’évaluation des besoins, de l’estime de soi et du fonctionnement social, à la thérapie cognitive comportementale pour la psychose, aux premiers épisodes de schizophrénie, à la réinsertion professionnelle des personnes aux prises avec un trouble mental grave, ainsi qu’aux troubles concomitants (psychose et abus de substances ou anxiété sociale). Dr Lecomte a dirigé et développé des manuels de groupe pour les personnes avec un trouble mental grave (tels que : Je suis Super – sur l’estime de soi, TCC pour psychose, AVEC-TCC pour les parents des gens souffrant de psychose et TCC pour le soutien à l’emploi). Elle a bénéficié de plusieurs subventions de recherche au niveau national (Canada) plusieurs articles avec comités de pairs (plus de 120) ont découlé de ces travaux. Elle a par ailleurs codirigé le Manuel de Réadaptation Psychiatrique, publié en 2004, et mise à jour en 2012 par Les Presses de l’Université du Québec et elle a écrit le livre Group CBT for psychosis paru chez Oxford Press en 2016 et traduit en français au PUQ en 2018. Elle est aussi psychologue en bureau privé et formatrice experte en ce qui a trait à l'intervention auprès des personnes avec un trouble mental grave et leurs familles.

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AUDREY FRANCOEUR, étudiante au doctorat en psychologie (R/I)

Modèle sociocognitif de la résilience à la rupture amoureuse chez les jeunes

Audrey a d'abord effectué une maîtrise en psychologie sous la supervision de Tania Lecomte et Isabelle Daigneault portant sur le rôle médiateur de la cognition sociale dans la relation entre les traumatismes durant l'enfance et l'adaptation à la rupture amoureuse au début de l'âge adulte. Elle est présentement au doctorat en psychologie sous la supervision de Tania Lecomte. Bien qu'Audrey soit passionnée par de nombreux domaines de recherche, ses principaux intérêts touchent aux mécanismes d'adaptation, aux traumatismes, aux troubles de personnalité ainsi qu'aux troubles psychotiques. Son projet de recherche porte sur la régulation émotionnelle en lien avec la détresse ou la santé mentale (résilience) suite à une rupture amoureuse chez les jeunes adultes.

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BRIANA CLOUTIER, Étudiante au doctorat en psychologie (R/I)

Testing a novel group intervention for young men with a serious mental illness

Briana est étudiante au doctorat en psychologie clinique (profil Recherche-Intervention) de l’Université de Montréal. Elle a obtenu son baccalauréat en psychologie à l’Université Concordia, où elle a complété une thèse d’honneur sur les facteurs sociaux-cognitifs pouvant expliquer le transfert intergénérationnel de la scolarité. Briana s’intéresse aux relations interpersonnelles (famille, amitiés, couples) dans le contexte de la psychose. Son projet doctoral vise à évaluer l’impact d’une nouvelle intervention de groupe sur le fonctionnement romantique et social des jeunes hommes ayant un trouble psychotique. Il tentera également de valider une mesure sur le fonctionnement romantique avec une population psychotique.

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ARCHIBALDO BRAVO, Étudiant au doctorat en psychologie recherche (Ph.D)

Effets de la modification des biais cognitifs sur l’anxiété sociale chez les personnes schizophrènes

Archibaldo est un étudiant au Doctorat en psychologie-Recherche de l'Université de Montréal. Sous la supervision de la professeure Tania Lecomte, sa thèse de doctorat se concentrera sur les effets de la modification des biais cognitifs et des déficits sociocognitifs, en particulier la reconnaissance des émotions faciles, sur l’anxiété sociale chez les personnes atteintes de schizophrénie. Archibaldo a obtenu son Baccalauréat en psychologie à l'Universidad Michoacana de San Nicolás de Hidalgo (UMSNH; Mexique), et sa Maîtrise en psychologie à l'Universidad Nacional Autonóma de México (UNAM; Mexique). Au cours de sa formation, il a eu l'occasion de participer à divers projets de recherche, surtout axés sur la validation des instruments mesurant l'anxiété sociale.

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JULIETTE C. BAROLET, étudiante à la maitrise en psychologie

L'attachement et le trauma infantile comme prédicteurs de la résilience suite à une rupture amoureuse chez les jeunes

 Ayant conclu son baccalauréat en psychologie, Juliette poursuit ses études en recherche sous la direction de Tania Lecomte et Audrey Brassard. Elle se concentre sur le rôle des insécurités d’attachement chez les jeunes adultes en rupture amoureuse. Son objectif de mémoire est d’augmenter la compréhension des prédicteurs de la détresse ou de la résilience face à une rupture amoureuse non désirée. De par son sujet de projet, elle fait partie du centre de recherche, le CRIPCAS. Ses travaux s’inscrivent dans un projet plus large incluant les cognitions sociales et les traumatismes en enfance dans l’adaptation à une rupture amoureuse.

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CATHERINE HACHE-LABELLE, étudiante au doctorat en psychologie (D.psy)

La réalité virtuelle comme outil de reconnexion sociale: étude pilote

Catherine est étudiante de première année au doctorat en psychologie clinique, Ph.D. recherche-intervention. Ses intérêts de recherche se concentrent sur la pleine conscience et les troubles psychotiques, pour lesquels elle se passionne. Elle a fait sa maîtrise à l'Université de Montréal sous la direction de Tania Lecomte, son projet de mémoire ayant eu pour titre: À deux, c'est mieux : étude pilote portant sur la faisabilité, l'acceptabilité et l'impact potentiel d'une intervention de groupe sur les relations amoureuses pour jeunes hommes ayant un trouble psychotique. Elle a également effectué son baccalauréat à l'Université de Montréal.

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MARIANNE BOUCHARD, Étudiante au doctorat en psychologie (D.psy)

Étude sur la fonction et les effets des stimulants chez une population atteinte de schizophrénie

Marianne a fait son baccalauréat en psychologie à l’Université de Montréal, durant lequel elle a occupé le titre d’auxiliaire de recherche au laboratoire L’ESPOIR, duquel elle fait partie depuis déjà plus de 2 ans. Elle est une étudiante passionnée et dynamique qui vise à devenir à la fois psychologue clinicienne et chargée de cours, tout en continuant son implication dans le domaine de la recherche en psychologie. Marianne est maintenant une étudiante au doctorat en psychologie clinique (D.psy) sous la direction de Mme Tania Lecomte (Ph.D), en co-direction avec M. Stéphane Potvin (Ph.D). Son projet de recherche vise actuellement à dresser un portrait global et détaillé des caractéristiques de la psychose et de l’impulsivité chez des individus atteints d’une schizophrénie consommant des psychostimulants.

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ANTOINE PENNOU, Étudiant au doctorat en psychologie (R/I)

Étude d’une intervention visant à diminuer la détresse émotionnelle dans les troubles concomitants

Antoine effectue actuellement son doctorat en psychologie clinique à l’Université de Montréal sous la direction de Tania Lecomte et Yasser Khazaal. Ses recherches portent sur l’importance de la théorie de l’esprit et de la régulation émotionnelle dans le fonctionnement social des individus aux prises avec un double diagnostic de schizophrénie et de trouble de consommation d’alcool et de drogue. Il travaille entre autres à développer une application pour téléphone intelligent qui vise à favoriser une meilleure gestion de la maladie pour cette population. Il a également effectué des recherches sur l’impulsivité et ses implications thérapeutiques chez les troubles bipolaires à l’institut universitaire Douglas sous la direction de Serge Beaulieu.

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CRYSTAL SAMSON, étudiante au doctorat en psychologie (R/I)

Mieux comprendre les biais cognitifs dans la psychose et la dépression.

Crystal détient un baccalauréat en psychologie de l'Université d'Ottawa, où elle a fait une thèse de premier cycle sur les antipsychotiques prescrits aux personnes ayant une déficience intellectuelle. Elle termine actuellement son doctorat en psychologie clinique à l'Université de Montréal, au sein du laboratoire L’ESPOIR. Elle s'intéresse aux problématiques diverses en santé mentale adulte, les troubles psychotiques et les troubles de la personnalité. Elle a complété ses stages selon les approches psychodynamiques, cognitive-comportementales et humanistes, ce qui lui a donné envie de pratiquer selon une approche intégrative. Sa thèse doctorale porte sur les biais cognitifs présents chez les personnes ayant une schizophrénie ou un trouble dépressif majeur. Elle participe également à de nombreux projets en cours au laboratoire. Entre autres, elle anime une télé-thérapie cognitive-comportementale pour de jeunes adultes ayant un trouble psychotique.

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GABRIELLE RIOPEL, étudiante à la maîtrise en psychologie

Projet pilote d’implantation d’une banque de données à la CUP : une étude qualitative des impressions des clinicien.ne.s 

Gabrielle aspire à la pratique de la psychologie clinique en tant que psychologue et projette aussi de partager sa passion pour ce domaine en tant que chargée de cours. Elle a intégré l’équipe du laboratoire L’ESPOIR en 2020 alors qu’elle était étudiante au baccalauréat en psychologie de l’Université de Montréal. Depuis, elle y a poursuivi son implication en tant qu’auxiliaire de recherche et comme étudiante à la maîtrise en psychologie. Son projet de maîtrise se construit au sein d’un Projet pilote d’implantation de banque de données au sein de la Clinique universitaire de psychologie de l’Université de Montréal (CUP). Précisément, elle s’intéresse, sous un angle qualitatif, aux impressions des clinicien.ne.s envers l’instauration d’une telle pratique. Ses intérêts de recherches sont toutefois multiples et s’étendent, entre autres, des troubles psychotiques jusqu’aux processus de la psychothérapie en passant par la psychopathologie en général, les troubles de la personnalité ainsi que le rétablissement des personnes aux prise avec des problématiques de santé mentale. 

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RAPHAËLLE MERLO, Étudiante à la maîtrise en psychologie

Étude pilote portant sur l’implantation d’ateliers de pleine conscience en milieu carcéral auprès de femmes ayant des troubles mentaux graves

Raphaëlle a intégré le laboratoire L’ESPOIR en 2018 durant son baccalauréat en psychologie à l’Université de Montréal. Elle poursuit maintenant son implication dans ce laboratoire dans le cadre de sa maîtrise en psychologie. Ses intérêts de recherche portent, entre autres, sur la pleine conscience, les thérapies cognitivo-comportementales de troisième vague et la téléthérapie. Raphaëlle s’intéresse aussi au rétablissement de personnes ayant des enjeux de santé mentale graves, notamment le trouble de stress post-traumatique, les troubles anxieux, les troubles psychotiques et le trouble de la personnalité limite. Son projet de maîtrise, sous la direction de Mme Tania Lecomte (Ph.D), visera à évaluer la faisabilité, l’acceptabilité et l’impact potentiel de l’implantation d’ateliers de pleine conscience auprès de femmes ayant des troubles mentaux graves en milieu carcéral.

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PAMÉLA POWER, Étudiante au doctorat en psychologie (D.psy)

Anne-Marie Kik, Étudiante au doctorat en psychologie (D.psy)

Paméla est étudiante au doctorat en psychologie clinique (D.psy) à l’Université de Montréal, sous la direction de Mme Tania Lecomte. Précédemment, elle a obtenu son baccalauréat en psychologie à l’Université du Québec à Chicoutimi. Elle s’intéresse aux services offerts aux personnes ayant un trouble mental sévère. Peu d’outils existent pour aider les intervenants à offrir les meilleurs soins à ces individus. Ainsi, le Client Assessment of Strengths, Interests and Goals (CASIG) a été conçu pour mesurer différentes sphères de la vie d’une personne qui pourrait nécessiter du soutien ou encore des services spécifiques. Cet outil a fait l’objet d’une révision et le projet de recherche de Paméla vise à compléter la fidélité test-retest ainsi que la sensibilité au changement inclut dans le processus de validation de la CASIG-rev.

Anne-Marie est étudiante au Doctorat en psychologie, orientation psychologie clinique (D.Psy) à l'Université de Montréal. Étant une militante pour des causes touchant le bien-être dans son propre corps, l'image corporelle et les troubles alimentaires, elle s'intéresse entre autres à la relation à la nourriture dans notre société ainsi qu'à ses diverses fonctions et significations chez les individus. Son projet, supervisé par Tania Lecomte, permettra d'explorer quelles sont les perceptions individuelles de l'alimentation et de la nutrition, ainsi que différents facteurs de maintien et de changement d'habitudes alimentaires, chez des personnes souffrant de troubles psychotiques.

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SARA ABOU CHABAKE, Étudiante au doctorat en psychologie (Ph.D.)

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Anouck Chalut, Étudiante au doctorat en neuropsychologie clinique (D.Psy)

Sara est étudiante au doctorat en psychologie (profil Recherche) à l’Université de Montréal. Elle travaille sous la direction de Tania Lecomte et Isabelle Daigneault. Elle a complété un baccalauréat et une maîtrise en psychologie clinique à l’Université Saint Joseph de Beyrouth. Ses intérêts en recherche sont orientés vers les troubles mentaux graves plus particulièrement les troubles psychotiques ainsi que les thématiques liées au trauma, trouble de stress post-traumatique, et maltraitance dans l’enfance.

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Sa thèse porte sur l’influence du trauma et des adversités dans l’enfance sur les traitements ainsi que sur les trajectoires de soin médicaux et de fonctionnement social des personnes vivant avec un trouble psychotique. Le projet inclura les données de la Banque Signature, une banque biopsychosociale de l’Institut Universitaire en Santé Mentale de Montréal et les banques clinico-administratives de la RAMQ et du MSSS.

Les déficits cognitifs chez les individus présentant un trouble de la personnalité comorbide à la schizophrénie : une méta-analyse

 

Anouck est candidate au doctorat en neuropsychologie clinique (D.Psy) à l'Université de Montréal. Ses intérêts portent sur les atteintes cognitives retrouvées chez les individus vivant avec un trouble psychotique et les processus de rétablissement qui y sont rattachés. Sur le plan clinique, Anouck s’implique depuis plusieurs années au sein d’organisations visant à faciliter l’inclusion sociale d’individus vivant avec un trouble mental grave ou une limitation fonctionnelle. Sous la direction de Dre Tania Lecomte, son projet de recherche vise à mieux caractériser le profil cognitif d’une population qui présente un trouble de la personnalité comorbide à la schizophrénie au moyen d’une méta-analyse. Ce projet permettra éventuellement d’adapter des interventions cognitives au profil cognitif de ces individus afin de favoriser leur rétablissement.

 

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Justin Lamontagne, Étudiant au doctorat en psychologie (R/I)

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Kathya Carrier, Étudiante à la Maitrise en psychologie

Améliorer le fonctionnement amoureux et social des jeunes adultes avec un trouble mental grave.

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Justin détient un baccalauréat en psychologie (B. Sc. Honor) de l'Université de Montréal. Il est étudiant au doctorat en psychologie clinique (profil Recherche-intervention) sous la supervision de Dre Tania Lecomte depuis septembre 2022. Ses intérêts de recherche portent sur le fonctionnement amoureux et social des jeunes adultes avec un trouble mental grave ainsi que la solitude et la connexion sociale. Son projet doctoral consiste à évaluer l'efficacité d'une nouvelle intervention de groupe basée sur l'approche cognitive-comportementale qui vise à aider les jeunes adultes avec un trouble mental à développer des relations amoureuses saines et à améliorer leur fonctionnement social. Justin est récipiendaire d'une bourse d'études supérieures du Conseil de recherche en sciences humaines du Canada (CRSH) pour l'année 2023-2024 ainsi que d'une bourse des Fonds de recherche du Québec - Société et culture (FRQSC) pour l'année 2024-2025.

Étude sur l'effet de l'activité physique sur la restriction cognitive, la désinhibition alimentaire et l'alimentation émotionnelle chez la population psychotique.

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Kathya a fait son baccalauréat en psychologie à l'Université de Montréal et poursuit maintenant son cheminement scolaire à la maîtrise en psychologie sous la direction du Dre. Tania Lecomte ainsi que du Dr. Ahmed Jérôme Romain travaillant à l'école de kinésiologie de l'Université de Montréal. Les intérêts de recherche de Kathya tournent autour des habitudes alimentaires et physiques des individus souffrant d'un trouble situé sur le spectre de la schizophrénie. Les interventions et la recherche envers cette population clinique ont rarement fait le pont entre les symptômes, l'alimentation et l'exercice physique et c'est ce que sa recherche tente de mettre de l'avant.

Nos formateurs

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ANOUK LATOUR-DESJARDINS, D.PSY., psychologue

Formatrice en TCCp et en interventions/psychothérapie pour troubles psychotiques (située à Montréal)

Anouk a complété son doctorat professionnel en psychologique au sein du laboratoire L'ESPOIR sous la direction de Tania Lecomte et du Dr. Amal Abdel Baki en 2017. Elle s'est intéressée aux relations amoureuses chez les jeunes hommes aux prises avec un trouble psychotique. Elle travaille à la fois en bureau privé et à l'Institut Douglas en Santé Mentale comme psychologue, tant en approche individuelle que groupale. Quoiqu'elle se dit d'approche intégrative, elle maîtrise et applique depuis plusieurs années la thérapie cognitive comportementale pour la psychose (en particulier l'approche groupale du Pr. Lecomte).

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PHILLIP THÉRIEN, D.PSY., psychologue

Formateur en approches familiales et en interventions/psychothérapie pour troubles psychotiques (situé à Montréal)

Philip a complété son doctorat professionnel en psychologique au sein du laboratoire L'ESPOIR sous la direction de Tania Lecomte en 2012. Il a étudié le parcours de soins des personnes aux prises avec à la fois avec un trouble de personnalité limite (borderline) et un trouble psychotique.   Depuis, il œuvre comme psychologue en bureau privé ainsi qu'en contexte communautaire. Il a développé une expertise en intervention familiale auprès des parents et proches de personnes aux prises avec un trouble psychotique (incluant le groupe AVEC).  D'approche intégrative, il est aussi formé à la thérapie cognitive comportementale pour la psychose (en particulier l'approche groupale du Pr. Lecomte).

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CÉCILE ROCHET, D.PSY.

Formatrice en TCC-AVEC et en interventions/psychothérapie pour troubles psychotiques (situé à Lyon, France)

Cécile est diplômée de l’Université Lumière Lyon 2,(Lyon.France) spécialisée en suivi  familial dans une approche systémique. Elle travaille comme psychologue, dans deux services de psychiatrie, à l’hôpital du Vinatier, à Lyon. Ses missions principales sont l’accompagnement des familles concernées par le handicap psychique, tant en approche individuelle que groupale. Elle est aussi formée à la thérapie cognitive comportementale pour la psychose (en particulier l'approche groupale du Pr. Lecomte).

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